Apéro Thérapie

Le 2 décembre à 18h
Et tous les 1ers samedis du mois entre janvier et juin à 18h
soit le 6 janvier, le 3 février, le 3 mars, le 7 avril, le 5 mai et le 2 juin

De : Dominic Palandri
Avec Romy Chenelat et Céline Iannucci

En partenarait avec L'Espace Gerson

Succès ! Reprise après deux saisons complètes à l’Espace Gerson !

Deux Filles, une bouteille de blanc, trois raisons de passer une bonne soirée !

Deux amies de longue date se croisent tous les jours dans l’appartement qu’elles partagent depuis des années, mais elles ne se connaissent pas vraiment… Leur passion : L’apéro, qu’elles aiment partager régulièrement. Au fil des rendez-vous, elles commencent à se livrer, et on découvre au fur et à mesure des révélations la personnalité de ces deux personnages tonitruants…

Servie par deux fabuleuses comédiennes, cette comédie percutante de Dominic Palandri nous montre les travers de chacun, avec beaucoup de décalage et d’humour.


A savoir :
L’auteur Dominic Palandri est aussi comédien. Il aime dépeindre les relations humaines de manière humoristique, direct et poétique à travers des tranches de vie. Il est aussi l’auteur de « New York Paradis » et « Les Zicos ».

Romy Chenelat a joué dans les pièces « Un grand cri d’amour », « L’amour est une dure lutte » ou encore « Les Zicos » et Céline Iannucci faisait parties du trio « Les Taupes Modèles », elle a joué entre autres dans la comédie « C’est pas un peu trop ».

La presse en parle...

Les dialogues sont ciselés, bourrés de trouvailles et jeux de mots. On rit beaucoup, mais pas que. Il y a en effet une vraie observation du monde qui passe par les yeux de ses deux nanas auxquelles on finit par s’attacher. On partage leurs espoirs et désespoirs pendant plus d’une heure au point qu’elles finissent par devenir comme de vraies copines avec qui on reprendrait bien une nouvelle tournée.
Nicolas Blondeau – LE PROGRES

 

« On jurerait que cette pièce a été écrite par des doigts de fée tellement elle transpire le dialogue naturel entre femmes. Un superbe portrait croisé au féminin. »
TRIBUNE DE LYON

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